Des notes internes de réunions entre des cadres de Facebook et des fonctionnaires de l’administration Biden, récemment citées à comparaître, en disent plus sur la volonté de la Maison Blanche de Biden de contrôler la liberté d’expression sur Facebook.
En 2021, la Maison Blanche a voulu contrôler les récits et les contenus réels publiés sur Facebook autour de #COVID19.
Le président Biden est allé jusqu’à dire que Facebook “tuait les gens” en autorisant la publication de certaines déclarations sur le site.
Rob Flaherty 🔗, alors directeur de la stratégie numérique du président Biden, a fait pression à plusieurs reprises sur Facebook pour qu’il explique ses décisions en matière de contenu.
“Nous devons expliquer au président, à Ron, aux gens, pourquoi il y a des informations erronées sur l’internet…”
Par exemple, M. Flaherty s’est demandé si Facebook en faisait assez pour réduire le trafic de sites comme le @New York Post.
“Je suis curieux – le NY Post publie des articles tous les jours… Qu’est-ce qui est censé se passer du point de vue de la politique ? Est-ce que cet article est réduit, est-ce qu’il est étiqueté ?”
Mais cela ne suffisait pas à la Maison Blanche de Biden. M. Flaherty voulait que Facebook aille plus loin.
Il voulait que Facebook expulse les gens de son site.
Les efforts de la Maison Blanche de Biden pour censurer les points de vue opposés n’ont fait que croître.
Ils ont donc augmenté la pression.
M. Flaherty a exigé que Facebook “joue le jeu” et collabore avec la Maison Blanche de M. Biden en matière de censure.
Il a dit que c’était son “rêve”.
Mais ce n’est pas tout.
La Maison Blanche de Biden voulait contrôler ce que vous voyiez sur Facebook.
Elle s’est demandé si Facebook pouvait modifier son algorithme pour que les utilisateurs voient plus de messages du New York Times et moins de messages du @Daily Wire 🔗 et de @Tomi Lahren ℹ️.
Pourquoi ont-ils fait cela ? Parce qu’ils pensaient que vous n’étiez pas assez intelligents pour décider par vous-même.
Courtney Rowe, responsable de la communication stratégique et de l’engagement public du président Biden pour la réponse #COVID19, s’est moquée de la capacité de l’Amérique réelle à déterminer ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas.
Facebook savait qu’il devait agir.
Un employé a tenté d’expliquer à la Maison Blanche que si l’entreprise ne pouvait pas “supprimer” les contenus, elle pouvait au moins les “contenir”.
Toutefois, M. Flaherty a continué à réclamer davantage de modération des contenus et un CONTRÔLE des contenus dits “mauvais”.
Lisez :
Et bien sûr, Facebook a cédé.
L’entreprise a ADMIS à la Maison Blanche qu’elle réduisait le contenu de certaines publications, même si celles-ci n’enfreignaient pas ses conditions d’utilisation et contenaient des informations véridiques.
Un employé de Facebook vient de lire ceci.
Ces notes de réunion récemment citées à comparaître continuent de montrer la volonté de la Maison Blanche de Joe Biden de diriger et de contrôler le contenu de Facebook.
Une nouvelle preuve du complexe industriel de la censure.
À suivre…