La “bombe” selon laquelle les vaccins ont “directement causé ou contribué de manière significative” à des décès est étouffée
Une nouvelle étude, menée par des chercheurs médicaux respectés et publiée dans The Lancet, une revue médicale renommée, indique que les injections contre le Covid ont en fait tué des gens – et l’étude a maintenant été supprimée.
C’est ce qui ressort d’un rapport du Liberty Counsel 🔗, qui a été l’un des principaux combattants devant les tribunaux contre les diverses directives de l’administration Biden en matière d’injections contre le COVID pendant la pandémie.
Le rapport indique que l’étude “bombe” a été réalisée par le Dr Peter McCullough ℹ️ et d’autres personnes et qu’elle a été publiée dans The Lancet.
Mais elle “a été rapidement censurée dans les 24 heures suivant sa publication parce qu’elle montrait des preuves évidentes que les injections contre le Covid-19 étaient responsables de nombreux décès.”
Sur les 325 autopsies examinées, “l’étude a révélé que les injections contre le Covid avaient directement causé ou contribué de manière significative à jusqu’à 74% de ces décès.”
Au total, on estime que le Covid a tué environ sept millions de personnes dans le monde.
L’étude s’intitule “A Systematic Review of Autopsy Findings in Deaths After Covid-19 Vaccination” (Examen systématique des résultats d’autopsie des décès survenus après la vaccination contre le COVID-19) et a été publiée le 5 juillet sur le site “pre-print” (articles non revus par les paires, NdT) de la revue The Lancet, ce qui marque le début d’une procédure d’examen par les pairs qui dure plusieurs mois.
Mais moins de 24 heures plus tard, elle avait disparu. Le Lancet a affirmé qu’il y avait des problèmes de “critères de sélection”.
Mat Staver, fondateur du Liberty Counsel, a déclaré :
“Les scientifiques confirment les dangers des injections contre le Covid-19 et confirment que ces injections n’ont jamais été sûres ni efficaces. Censurer le débat scientifique est répréhensible et dangereux. Le gouvernement, les médias et certains éléments des communautés médicales et scientifiques tentent intentionnellement et sciemment de tromper le public”.
Le rapport indique que M. McCullough, interniste et épidémiologiste de renom et “l’un des cardiologues américains les plus publiés, avec plus de 1 000 publications évaluées par des pairs”, a réalisé l’étude avec huit autres chercheurs.
Harvey Risch, chercheur à Yale, le Dr Roger Hodkinson, pathologiste, et le Dr Paul Alexander, anciennement du ministère de la santé et des services sociaux.
“Collectivement, ils ont examiné 678 études portant sur les liens de causalité possibles entre les injections contre le Covid-19 et la mort et ont identifié 325 autopsies méritant un examen plus approfondi. L’étude précise que chaque autopsie a été ‘examinée de manière indépendante’ par trois médecins afin de déterminer la cause du décès”, indique le rapport.
Voici ce qui a été trouvé :
- “Au total, 240 décès (73,9 %) ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus au[x injections de] Covid-19 ou y ayant contribué de manière significative”.
- “Parmi les juges, il y a eu un accord indépendant complet (les trois médecins) pour dire que [l’injection] avait causé le décès ou y avait contribué dans 203 cas (62,5 %).
- Le système organique le plus impliqué [dans les lésions mortelles] était le système cardiovasculaire (53 %)…” et “La plupart des décès sont survenus dans un délai d’un mois.
- “La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière vaccination.
Le rapport du Liberty Counsel note que les résultats sont similaires à ceux d’une étude évaluée par des pairs réalisée l’année dernière par le Dr Peter Schirmacher et d’autres scientifiques allemands, qui ont examiné 25 décès et ont constaté que cinq des victimes “sont probablement mortes exclusivement à cause de l’injection de Covid”.
M. McCullough a souligné la censure dont il est question.
“Ils essaient de tuer [l’étude] pour que le monde ne voie pas les données”.
L’étude elle-même mettait en garde :
“D’autres investigations urgentes sont nécessaires, visant à confirmer nos résultats et à élucider davantage les mécanismes sous-jacents aux issues fatales décrites, dans le but d’atténuer les risques pour le grand nombre d’individus qui ont pris un ou plusieurs vaccins contre le Covid-19″. Si un grand nombre de décès sont effectivement liés à la vaccination par le COVID-19, les implications seraient immenses, notamment : le retrait complet de tous les vaccins contre le COVID-19 du marché mondial, la suspension de tous les obligations et passeports sanitaires de vaccins contre le COVID-19 restants, la perte de confiance du public dans le gouvernement et les institutions médicales, des enquêtes et des investigations sur la censure, le silence et la persécution des médecins et des scientifiques qui ont soulevé ces préoccupations, et l’indemnisation des personnes qui ont subi un préjudice à la suite de l’administration de vaccins contre le COVID-19.”
NOTE IMPORTANTE : À leur grande horreur, les élites dirigeantes américaines n’ont pas réussi à éliminer Donald Trump au cours de ses quatre années de présidence via le scandale de collusion Trump-Russie fabriqué de toutes pièces – conçu et financé par la campagne d’Hillary Clinton, comme le prouve le rapport Durham – ou par le biais de deux procès de destitution dignes d’un cirque. Plus tard est arrivé le “6 janvier”, une manifestation transformée en émeute par les partisans de Trump qui croyaient passionnément, à juste titre, que la récente élection – et donc leur pays – venait de leur être volée. Des membres du Congrès veulent maintenant interdire constitutionnellement à Trump de briguer à nouveau un mandat public pour avoir fomenté “une insurrection armée” (aucun manifestant n’était armé) contre l’Amérique.
En mars, M. Trump a été inculpé à New York de 34 chefs d’accusation pour falsification de documents commerciaux et, en juin, d’autres inculpations ont été déposées contre M. Trump – 37 chefs d’accusation fédéraux liés à sa gestion de documents classifiés. Les experts juridiques honnêtes qui ne sont pas de mèche avec l’administration Biden qualifient ouvertement ces inculpations de frivoles et d’idiotes, sans parler de leurs grotesques motivations politiques.
La persécution sans fin de Donald Trump par l’État profond, ainsi que l’incroyable histoire de l’agenda totalitaire que les persécuteurs de Trump tentent de mettre en œuvre en Amérique et la raison pour laquelle Trump représente une menace mortelle pour leurs desseins néfastes – est au centre du numéro de juillet à succès du magazine mensuel Whistleblower de WND, acclamé par la critique, intitulé “LA PERSECUTION DE DONALD TRUMP : Pourquoi les élites dirigeantes détestent – et craignent – le 45e président.”
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