Des preuves que les politiques de directives de port du masque des CDC pour les écoliers étaient motivées par des sondages politiques plutôt que par la science ont été révélées dans le troisième lot de documents accablants obtenus par America First Legal (AFL) dans le cadre d’un procès contre les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).
America First Legal (AFL) est une organisation nationale à but non lucratif qui œuvre à la promotion de l’État de droit aux États-Unis.
“America First Legal est la réponse tant attendue à l’ACLU (WIKI). Nous sommes engagés dans une défense inébranlable de la véritable égalité devant la loi, des frontières et de la souveraineté nationales, de la liberté d’expression et de religion, des valeurs et vertus classiques, du caractère sacré de la vie et de la centralité de la famille, ainsi que de notre héritage juridique et constitutionnel intemporel. Par le biais d’un contentieux et d’une surveillance sans relâche, nous protégerons l’Amérique d’abord, ensuite et toujours”, a déclaré Stephen Miller, président de l’AFL et ancien conseiller principal de Trump.
Après que l’ancienne secrétaire de presse Jen Psaki (WIKI) a confirmé que le régime Biden était de connivence avec les géants des réseaux sociaux pour identifier la “désinformation”, l’AFL a déposé une demande de FOIA (WIKI) en juillet 2021 et a ensuite intenté une action en justice pour faire respecter la demande, ce qui a abouti à la communication des documents à l’AFL.
L’AFL a révélé ses découvertes choquantes à partir des documents obtenus dans une série de tweets.
Plus d’informations de America First Legal :
La première publication de documents de l’AFL a révélé la collusion explicite entre le CDC et Big Tech pour censurer ce que l’administration Biden considérait comme de la “désinformation” et pousser la propagande secrète du COVID-19. Le deuxième communiqué de l’AFL a construit le dossier de preuves montrant que le CDC a spécifiquement envoyé des messages spécifiques à Facebook et Twitter pour les retirer, les étrangler, les censurer ou les signaler.
La Kaiser Family Foundation (KFF) est un groupe libéral d’argent noir, recevant des fonds d’organisations telles que Google, Twitter et la Fondation Bill et Melinda Gates, avec un accès régulier et direct aux hauts responsables de l’administration Biden. Cette production de documents montre des courriels réguliers de mai 2021 à août 2021.
Le KFF était une porte tournante pour l’administration Biden et les agents politiques d’Obama :
– Vivek Murthy, l’actuel chirurgien général des États-Unis (ancien administrateur du KFF).
– Kathleen Sebelius, ancienne secrétaire du département de la santé et des services sociaux et architecte de l’Obama Care (ancienne et actuelle administratrice du KFF).
– Le Dr Bechara Choucair était le coordinateur de la vaccination contre le COVID-19 de la Maison Blanche de Biden. Il était le directeur de la santé de Kaiser Permanente, l’une des plus grandes compagnies d’assurance santé du pays. Il a quitté la Maison Blanche en novembre 2021, pour revenir chez Kaiser en tant que vice-président senior et directeur de la santé.
– Dr Marcella Nunez-Smith, ancienne conseillère principale de l’équipe d’intervention contre le Covid-19 de la Maison Blanche et présidente du groupe de travail présidentiel sur l’équité en santé dans le cadre du COVID-19 (actuelle administratrice du KFF).Le 10 août 2021, Drew Altman, président et directeur général de KFF, a envoyé un courriel aux hauts responsables de l’administration Biden pour les informer que “nous avons le scoop sur la question du moment, les masques dans les écoles”.
Altman a écrit que les 36% qui s’opposent à la directive sur le masque obligatoire à l’école sont “composés des suspects habituels” et “sont bien sûr assez nombreux pour faire du grabuge.”
Il a poursuivi en disant que “l’interdiction de l’obligation de porter un masque à l’école… pourrait n’être un gain politique que dans les communautés profondément rouges (républicaines, NdT).”
À peine trois jours plus tard, le 13 août 2021, le CDC a recommandé le port universel du masque pour tous les enfants âgés de deux ans et plus :
Pourtant, dans le même temps, il était bien compris que les écoliers n’étaient ni des vecteurs du COVID-19 ni à risque de la maladie, et que le masquage et d’autres mesures infligeaient à nos enfants d’énormes dommages éducatifs, développementaux et émotionnels.
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Les masques ont été exigés par le Dr Fauci et ses acolytes pendant la pandémie de COVID. Les masques ont nui au développement du langage des enfants et limiter les activités extrascolaires et les interactions sociales des enfants aurait un impact négatif sur leur enfance.
The Gateway Pundit a précédemment rapporté que les directives sur le port du masque dans les écoles de Catalogne, en Espagne, n’ont pas réduit la propagation du COVID-19 ; au contraire, l’âge joue un rôle important dans la transmission du virus, selon une étude évaluée par des pairs.
Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue BMJ Archives Diseases in Childhood sous le titre “Unravelling the role of the required use of face-covering masks for the control of SARS-CoV-2 in schools : a quasi-experimental study nested in a population-based cohort in Catalonia (Spain)”.
Selon les résultats de l’étude, “l’incidence du SRAS-CoV-2 était significativement plus faible dans l’enseignement préscolaire que dans l’enseignement primaire, et une tendance à l’augmentation avec l’âge a été observée.”
Les chercheurs ont conclu : “Nous n’avons trouvé aucune différence significative dans la transmission du SRAS-CoV-2 en raison des directives de la FCM dans les écoles catalanes. Au contraire, l’âge était le facteur le plus important pour expliquer le risque de transmission chez les enfants scolarisés.”
Une étude récente a également confirmé que les masques jetables libéraient des niveaux dangereux de dioxyde de titane (TiO2), un agent cancérigène.
L’étude a révélé que les niveaux de TiO2 dépassaient de quatre fois ou plus le niveau d’exposition acceptable.
“Bien que le dioxyde de titane (TiO2) soit un agent cancérigène humain suspecté lorsqu’il est inhalé, des (nano)particules de TiO2 ont été démontrées dans les fibres textiles synthétiques des masques faciaux destinés au grand public“, selon le rapport de la National Library of Medicine du NIH.