Le véritable “cerveau” mondialiste derrière la grande réinitialisation : Le “prophète” Jacques Attali
Article original datant du 09/03/22
Comme son homologue mondialiste, le leader du Forum économique mondial Klaus Schwab, Jacques Attali est l’architecte moins connu qui façonne l’avenir.
Si vous n’avez jamais entendu parler de Jacques Attali, c’est peut-être intentionnel. Parmi les architectes mondialistes, il est une figure de l’ombre qui non seulement influence le cours de la politique française mais façonne également notre avenir – au niveau mondial. Jacques Attali n’est-il qu’un simple porte-parole présentant les plans des puissants réseaux mondialistes, ou pourrait-il être le véritable cerveau qui nous fait avancer vers une Grande Réinitialisation ?
Qui est Jacques Attali
Jacques Attali est né le 1er novembre 1943 en Algérie française. Son père, Simon Attali, a connu le succès dans la parfumerie avec sa boutique “Bib et Bab” à Alger. Mais, selon l’histoire, deux ans après le début de la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962), Simon Attali décide de s’installer à Paris avec sa famille.
Conseiller politique, auteur et prophète
Jacques Attali a étudié dans l’Ivy League des universités françaises, obtenant son doctorat en économie de l’Université Paris Dauphine en 1972. Sa carrière politique a débuté alors qu’il était professeur d’économie dans cette même université. Il est surtout connu pour avoir été conseiller spécial et conseiller du président français de gauche François Mitterrand de 1981 à 1991, mais Attali a également dirigé la campagne politique de Mitterrand pour l’élection présidentielle de 1974.
Depuis plus de 45 ans, Jacques Attali est présent dans le paysage politique français. Il a écrit plus de 40 livres, dont certains peuvent être qualifiés de visions d’utopies colorées et d’autres de prophétiques. Attali a également cofondé EUREKA, un programme intergouvernemental européen pour les nouvelles technologies, qui a développé, entre autres, le MP3.
Il est actuellement le fondateur, président et président de Positive Planet, une organisation mondialiste qui contribue au programme mondialiste 2030 des Nations Unies. Comme indiqué précédemment à la Fondation RIAR USA, “leur agenda n’est rien d’autre qu’une tyrannie gouvernementale mondiale qui asservit l’ensemble de l’humanité tout en appelant le stratagème “développement durable” et “égalité”.” Comme l’affirme le Forum économique mondial, d’ici 2030, “Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux.”
Prédiction d’Attali
Dans la vidéo suivante traduite par RAIR, l’écrivain français Paul-Étienne Pierrecourt examine certains des écrits de Jacques Attali et ses étonnantes prédictions qui s’appliquent aux événements mondiaux de ces dernières années.
Dans son livre “Dictionnaire du XXIe siècle“, publié en 1998, Jacques Attali décrit une future pandémie visant à établir une force de police mondiale qui finira par devenir une puissance planétaire. Il met en évidence des termes spécifiques, notamment le mot “Épidémie“. En outre, Attali déclare : “Nous prendrons des mesures d’endiguement planétaires, qui remettront brièvement en question le nomadisme et la démocratie.”
D’autres termes décrits par Attali incluent “Thérapie génétique“, “Thérapie génétique avec les nanotechnologies” et, “Panique“.
Le moteur des marchés et de la démocratie La panique, ce processus moutonnier par lequel chacun imite l’autre par peur d’être marginalisé et laissé pour compte, n’est pas un dysfonctionnement de la civilisation occidentale mais son essence même.
La partie “Prévention” est passionnante :
Le premier risque contre lequel nous continuerons à vouloir nous protéger est la maladie. La prévention envahira toute notre existence.
Dans la section “République“, il aborde un avenir de nations sans frontières en déclarant : “Ce qui reste surtout important, c’est d’inventer une république sans territoire, sans murs. Diasporique“. Attali pivote ensuite vers “Le revenu“, pour lequel il prédit un “revenu universel” et le travail à domicile via le “télétravail” :
Chaque personne aura peut-être un jour le droit à un revenu décent versé par l’État indépendamment de toute activité : Le revenu universel….Plus de la moitié des travailleurs n’auront plus d’emploi…Le travail à domicile via le télétravail (home office) représentera la moitié des emplois.
L’homme derrière les présidents de la France
Jacques Attali est bien accueilli à l’Elysée depuis plus de quatre décennies. Il est l’un des conseillers les plus influents des générations de présidents français de gauche, de François Mitterrand à François Hollande. Il prétend même avoir “inventé” l’actuel président français, Emmanuel Macron.
Macron a rencontré Attali après avoir été diplômé en 2004 de l’ENA (l’Ecole Nationale d’Administration), l’une des plus prestigieuses grandes écoles du pays et un vivier de futurs présidents français.
Attali jouera un rôle essentiel dans l’ouverture d’un nouveau chapitre de la vie de Macron, lui permettant de s’enrichir et d’accroître sa compréhension du système financier mondial.
Armé d’une recommandation d’Attali, Macron rejoint Rothschild & CIE Banque, une banque d’investissement appartenant à Rothschild & Co. Le jeune Macron a rapidement gravi les échelons de la banque pour devenir associé directeur – et millionnaire par la même occasion.
La photo suivante indique : “Emmanuel Macron ? C’est moi qui l’ai repéré. Je l’ai même inventé. Totalement. Jacques Attali cité par le livre d’Anne Fulda intitulé “Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait” (2017).”
Sur la couverture du magazine français Libération, on peut lire : “Attali, l’autre président“.
Prédit que la troisième guerre mondiale commencerait avec l’Ukraine
Attali, un habitué des talk-shows politiques en France, a prédit en 2014 que la troisième guerre mondiale commencerait avec l’Ukraine. La vidéo se termine par l’avertissement de l’ancien président français Nicolas Sarkozy : “Nous allons avancer ensemble vers un nouvel ordre mondial, et personne, et je dis bien personne, ne pourra s’y opposer.”
Regardez le clip suivant traduit par la Fondation RAIR USA :
Le nouvel ordre mondial
Comme son homologue mondialiste, le leader du Forum économique mondial Klaus Schwab, Jacques Attali est l’architecte moins connu qui façonne l’avenir. Pourtant, le 6 décembre 2020, l’archevêque Vigano désigne Attali comme étant à l’origine du “Great Reset” de Schwab. L’archevêque Vigano a écrit ce qui suit :
Le 19 novembre 2020, le fondateur du WEF (WIKI) , Klaus Schwab, a déclaré que ‘la Covid est une opportunité pour un reset global.’ En réalité, Schwab répétait servilement ce que Jacques Attali a déclaré dans l’hebdomadaire français L’Express le 3 mai 2009.
En mai 2009, un an avant le scénario “LOCKSTEP” de la Fondation Rockefeller, Attali a publié un essai intitulé “Le changement, une précaution”, dans lequel il exprimait l’espoir que la pandémie (la grippe aviaire) déclencherait des “craintes de restructuration.” Par cela, Attali entend le genre de peur qui déclencherait une “restructuration de la société.” Attali écrit : “L’histoire nous enseigne que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur.”
L’euthanasie par pandémie ?
Jacques Attali est également connu pour une célèbre citation attribuée à tort, suggérant de réduire la population par une pandémie planifiée et de fournir un ” traitement ” mortel. “Cette citation erronée est souvent citée avec deux sources différentes, les mémoires d’Attali, “Verbatim” et/ou “L’Avenir de la Vie“, un livre d’entretien de Michel Salomon.
Au cours de son entretien avec Salomon, il a été demandé à Attali s’il serait “possible et souhaitable de vivre 120 ans ?” Après sa longue réponse, il a suggéré que l’euthanasie pourrait être un outil pour les sociétés futures. Cependant, il a déclaré qu’il ne préconisait pas de tuer les personnes âgées mais qu’il s’élevait contre un allongement infini de la vie.
Les armes du futur
Le livre à succès d’Attali de 2011, “Une brève histoire de l’avenir : un regard courageux et controversé sur le XXIe siècle” a été qualifié de “brillant et provocateur… difficile à rejeter” par le dangereux mondialiste Henry Kissinger. Dans un chapitre intitulé “Les armes de l’hyperconflit“, les prédictions d’Attali résument les objectifs du Forum économique mondial visant à remodeler l’humanité et à prendre le contrôle total de tous les aspects de nos vies.
Dans les cinquante prochaines années, les nouvelles technologies seront développées par les armées avant d’être utilisées sur le marché civil. Pour les besoins de la défense ou de la police, les gouvernements financeront les recherches nécessaires au perfectionnement des technologies d’hyper-surveillance et d’auto-surveillance. Inversement, ces technologies auront ensuite des applications civiles.
En effet, ces armes du futur seront essentiellement fondées sur le concept de surveillance. Les armées développeront à la fois des infrastructures numériques d’ubiquité nomade, des systèmes de surveillance des mouvements suspects, des moyens de protection des installations stratégiques et un réseau d’intelligence économique. Des robots (dissimulés en territoire ennemi) et des drones (robots volants) relaieront les données, détecteront les agents chimiques ou biologiques, serviront d’éclaireurs devant les détachements d’infanterie confrontés à des zones minées ou à des angles morts. Les logiciels simulant les combats seront mis à jour en permanence, au plus près des champs de bataille.
En outre, de nouvelles unités de combat seront intégrées aux moyens de simulation, de surveillance et de frappe. De nouveaux réseaux et instruments d’ubiquité nomade permettront aux combattants de rester connectés et de simuler tout type de situation. Des vêtements intelligents serviront à fabriquer de nouveaux uniformes ; de nouveaux matériaux permettront de concevoir de nouveaux boucliers. Les technologies de simulation tridimensionnelle aideront à préparer et à réaliser les missions de combat, tandis que les robots serviront de substituts aux vrais combattants.
Les systèmes électroniques (e-bombes) seront capables de détruire les réseaux de communication et de laisser une force adverse aveugle et sourde.
Les marines joueront un nouveau rôle dans la lutte contre les traqueurs, dans la surveillance de l’émigration et dans la protection des détroits stratégiques. Les avions de chasse ne seront plus aussi utiles qu’aujourd’hui, et perdront leur influence sur la réflexion des états-majors et les budgets militaires.
De nouvelles armes, dites conventionnelles, seront d’autant plus nécessaires que les armes non conventionnelles (nucléaires et autres) se diffusent de plus en plus.
[…] D’ici 2040 ou 2050, plus de quinze pays au total posséderont ouvertement des armes nucléaires et les moyens de les délivrer.
La pénurie de pétrole poussera également les pays les plus divers vers la production de centrales nucléaires civiles. Cela les conduira à utiliser des déchets recyclés, dits MOX, comme combustible – multipliant encore les risques de prolifération mais aussi de “disparition” des déchets (lors du transfert de ces matières radioactives). Ces déchets pourraient alors être utilisés pour fabriquer des armes radiologiques mêlant déchets nucléaires et explosifs conventionnels.
D’autres armes – chimiques, biologiques, bactériologiques, électroniques et nanotechnologiques – apparaîtront alors. Comme pour les nouvelles technologies civiles qu’elles préfigureront, les scientifiques s’efforceront d’accroître leur puissance, leur miniaturisation et leur précision. Les armes chimiques seront capables de rechercher et de tuer les dirigeants sans être détectées ; les pandémies pourraient être prêtes à être déclenchées à volonté ; les armes génétiques complexes pourraient un jour être dirigées spécifiquement contre certains groupes ethniques.
Des nanorobots aussi petits qu’une tache de poussière, appelés gelée grise, pourraient effectuer des missions de surveillance furtive et attaquer les cellules des corps ennemis. Puis, lorsque les techniques de clonage animal auront progressé, les animaux clonés pourraient bien remplir des missions – des bombes animales vivantes, des monstres de cauchemar.
Ces armes ne seront pas développées uniquement dans les laboratoires militaires des pays puissants, mais aussi par de grandes entreprises, les “entreprises du cirque”, qui leur trouveront de nouveaux marchés. Comme toujours, l’armement restera au cœur de l’appareil industriel, et tant que le super-empire ne sera pas là, les marchés publics seront essentiellement orientés vers le secteur de l’armement. Les grandes compagnies d’assurance et les sociétés de mercenaires reprendront ensuite le flambeau.
La plupart de ces armes seront accessibles aux petites nations, aux non-États, aux corsaires, aux pirates, aux mercenaires, aux maquisards, aux mafias, aux terroristes et à toutes sortes de traqueurs. Dans un avenir pas si lointain, par exemple, il sera possible de fabriquer une bombe électronique pour 400 dollars à partir d’un condensateur, d’une bobine de fil de cuivre et d’un explosif. Les armes chimiques, radiologiques et biologiques seront ainsi à la portée de tous. Tuer de plus en plus de personnes avec des moyens rudimentaires deviendra une triste possibilité. Dans les villes et dans les transports en commun, la promiscuité multipliera l’efficacité des armes les plus primitives.
Enfin (et peut-être surtout), comme aucune guerre ne peut être gagnée si les peuples qui la mènent ne la croient pas juste et nécessaire, et si la loyauté des citoyens et leur croyance en ses valeurs ne sont pas maintenues, les principales armes du futur seront les instruments de propagande, de communication et d’intimidation.”
Porte-parole et vendeur des mondialistes
Parmi le réseau des mondialistes, Jacques Attali joue le rôle d’un prophète. Dans une vidéo de 2015 au Louvre et au Théâtre antique d’Arles, Attali donne une conférence de plus d’une heure sur son livre, accompagnée d’extraits de films et de performances musicales. Puis, il monte sur scène dans un grand théâtre antique, vêtu de blanc ; il explique ses prédictions d’avenir.
Attali est le porte-parole et le vendeur de ces puissants réseaux mondialistes, et son rôle est de révéler ce qui est déjà prévu. Il fournit d’autres preuves de ce puissant réseau dans un éditorial écrit dans l’Express Magazine en mai 1998, intitulé “Le triangle du pouvoir”. Il explique :
Dans une société civile moderne, trois entités se partagent l’essentiel du pouvoir : le politique, le médiatique et le judiciaire. L’équilibre de ces trois pouvoirs conduira le peuple à les rejeter dans leur ensemble. Cependant, il faut être conscient que leurs destins sont intimement liés. Les politiciens, les journalistes et les magistrats ont reçu la même éducation, ils partagent les mêmes valeurs, ils sont issus des mêmes milieux sociaux. Néanmoins, ils sont une minorité dans la population. Ils se sauveront ou périront ensemble”.
Une fois de plus, Jacques Attali prouve ses capacités de précognition. En 2022, une grande partie de la population rejette le “Triangle du pouvoir“, mais vous pouvez être sûr que cette minorité a déjà un plan en place. Comme l’a dit M. Attali : “Ils se sauveront ou périront ensemble“.